SAINT-MARTORY cartonne sur tous les fronts!!!
A cause du mauvais temps, la phase finale du championnat de zones des clubs 1ère et 3ème division, initialement prévue à AUSSONNE, s'est déroulée, toute la journée, dans le boulodrome couvert de FENOUILLET. Mais la restauration et la remise des récompenses ont bien eu lieu à AUSSONNE.
En 1ERE DIVISION :1/2 FINALE : ROQUES/ GARONNE bat GAILLAC-TOULZA ST-MARTORY bat NOGARET
FINALE : SAINT- MARTORY contre ROQUES/ GARONNE
Victoire de Saint Martory
A Castanet, les féminines de Saint-Martory ont battu l'équipe de Bruguières en finale.
Saint-Martory au septième ciel
championnat de zone des clubs. Le bilan complet.
Le doublé historique du club commingeois restera comme l'un des moments forts de l'année 2011. Le SO Bonnefoy et Buzet sont les autres lauréats.
À l'image d'un transfert d'Aussonne vers Fenouillet qui s'est déroulé sans anicroche, il était dit que cette nouvelle session consacrée aux clubs en fonction de leur positionnement dans la pyramide départementale serait couronnée de succès. Il est clair que la formule élaborée dans les autres sphères de la juridiction chère au président Michel Le Bot fait désormais l'unanimité. Nul besoin d'être grand clerc pour deviner, à travers la Coupe du Président, la fierté de modestes entités dont les sociétaires ne peuvent prétendre se voir un jour en haut de l'affiche. Le Grès (challenger « malheureux » - tout est relatif ! - de Balma) chez les féminines, Thil, Frouzins, Sayrac… Le championnat de zone permet désormais à tout un département de prendre le pouls d'une vitrine ô combien représentative.
Car ni Saint-Martory, ni Bonnefoy ni Buzet n'ont usurpé leur présence au tableau d'honneur. Et surtout pas les premiers nommés. Jean-François Gouazé l'avait évoqué dans ces mêmes colonnes l'an passé quand tous les sociétaires vibraient aux exploits de l'ossature engagée en Coupe de France, et ses protégé(e) s l'ont fait. Les hommes ont pris la mesure de Roques, imités par leurs consœurs avec pourtant un redoutable obstacle bruguiérois à surmonter sur la dernière marche du podium. Même sans Nelly Peyré (désignée à l'unanimité comme joueuse de l'année et dont d'aucuns se demandent encore pourquoi elle n'a pas été sélectionnée pour disputer le championnat du monde), l'escadrille composée de Pascale Pontac, Anaïs Lapoutge, Nathalie Canut et Karine Muraro (l'ancienne Fonsorbaise) a gravé son nom au palmarès et gagné le droit de disputer le tout premier championnat de ligue féminin l'an prochain.