Comme l'actualité pétanqueste n'est pas très fournie, un petit article dans la continuité du 1er pour expliquer comment ça marche! à la demande générale je dois dire...
On revient sur le quotidien pour lequel je bosse et dont, encore pas plus tard que hier, on m'a rebattu les oreilles sous prétexte qu'il n'y avait pas d'articles sur la pétanque. Bon! faut pas exagérer quand même, y en a pas mal, et bien plus que quelques années en arrière ou il n'y avait pas de correspondant attitré sur la pétanque.
Certains s'en prennent à moi, en me disant d'intervenir... intervenir où? ... c'est quoi un correspondant local? un correspondant local est l'équivalent du gamin qui écrit dans le journal du lycée. Vous croyez qu'il va influer sur les décisions du proviseur? au pire il va se faire rappeler à l'ordre si dans son journal il la ramène trop.
Alors là je vais pas trop en rajouter sur le journal . Ici sur le Comminges ça se passe bien. A Toulouse c'est une autre histoire. Que je ne vais pas vous raconter.... ici je peux faire passer quelques infos au rédacteur de Saint-Gaudens. Sur Toulouse ce n'est même pas la peine d'y penser! Et c'est souvent Toulouse qui a le dernier mot.
De plus, vous me connaissez... si on me cherche on me trouve... et donc c'est un peu ce qui s'est passé avec Toulouse. Ce qui fait que ça, plus le fait, comme je vous l'ai expliqué sur un autre article, que quand "on n'est pas d'ici" on n'a pas droit à la parole, on a juste le droit de ne pas la ramener, de s'aplatir devant les grands chefs et de dire merci qu'on accepte encore de vous parler... tout cela fait que mes articles font un peu du yo-yo.... dépendant de la personne sur laquelle ils vont tomber.
Je me rappelle l'an dernier d'un article que j'avais envoyé sur une association salisienne, vers la mi-décembre. J'avais eu beau signaler qu'il n'était pas paru au bout de 15 jours, toujours rien. Pendant les vacances de Noël, un monsieur très sympa de Toulouse, que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam, m'a appelé pour savoir comment ça se faisait que cet article qu'il jugeait très intéressant n'était pas paru... Et il l'a fait paraitre à la Une dans les jours qui ont suivi... Comme quoi, pour répondre aux personnes qui croient que c'est moi qui décide du jour ou de l'opportunité de la parution d'un article, ben non... je suis tout ce qu'il y a au plus bas de l'échelle! Mais cela ne me dérange pas. Avec le Net, je peux mettre les photos que je veux et vous avez beaucoup plus d'infos sur mes sites.
Je sais que beaucoup de personnes ne sont pas familiarisées avec l'informatique et préfère le support papier. Je les comprend, étant moi-même un rat de bibliothèque mais ça ne sert à rien de m'engueler! je ne peux vraiment pas faire plus! je ne connais personne à la Dépêche à Toulouse et donc je suis bien obligée de faire avec les articles qui passent, ne passent pas ou passent après la date de l'évènement.
J'essaie de ne pas trop râler, car sans quoi c'est vous qui allez en subir les conséquences si mes articles ne passent plus du tout.
Certains m'ont fait remarquer que depuis qu'il y a la Gazette, émanation de la Dépêche, celle-ci est beaucoup plus attrayante et documentée que la Dépêche, ils ont raison. Mais qu'y faire?
Peut-être que quand les grands pontes auront fini de se bouffer le nez en haut lieu, ils prendront plus à coeur l'intéret général et se pencheront vers le nerf de la guerre: l'argent , et l'argent de leurs lecteurs et non celui de la pub. Car s'il faut de la pub dans un journal, je ne pense pas que qui que ce soit veuille payer pour un journal ou la pub prendra plus de place que les infos.
Voilà!
Avec tout ça je pense que je ne vais pas arranger mon image...c'est pas grave... comme je vous l'ai déjà dit, c'est ma vérité. Je ne demande pas mieux que les grands pontes du journalisme m'expliquent et nous expliquent leur vérité. Auquel cas, vous serez bien sûr les premiers informés