A 90 ans Thomas Chiné au volant de sa voiture, continue tous les jours à "descendre" jusqu'à Salies retrouver ses amis du club de pétanque salisien.
"Je suis le plus ancien licencié du club", explique t'il. "Le club a été créé en 1957. Moi à cette époque là j'étais licencié à Saint Gaudens, et c'est Jean Garnier, chef du secteur de Saint Gaudens, qui est venu me trouver pour fonder un club de pétanque sur Salies. Il fallait être six et donc je suis allé chercher mon ami André Pujos avec qui je chassais et pêchais, les frères Nogues, Salièges et Costes; ensuite on faisait des manifestations, des bals, des repas. Moi j'étais assureur et avec ma voiture je me déplaçais beaucoup et on faisait notre propagande. Le club est devenu l'un des plus importants du Comminges."
Thomas ne tarit pas sur les parties gagnées ou perdues...: "j'étais à cette époque un des meilleurs pointeurs de la région. Un jour on est parti avec Jean Pierre Duprat et Orfila à Pamiers. La veille on avait fait la fête, et en arrivant, Jean-Pierre n'était pas trop dans le coup... On était opposé à la meilleure équipe du moment: Zanon, Alazet et Munoz. A la première mène il fallait tirer et faire un carreau, Jean Pierre ne se le sentait pas, j'ai du le forcer et il l'a fait, et de là on a gagné la meilleure équipe de l'Ariège".
"Je suis le plus ancien licencié du club", explique t'il. "Le club a été créé en 1957. Moi à cette époque là j'étais licencié à Saint Gaudens, et c'est Jean Garnier, chef du secteur de Saint Gaudens, qui est venu me trouver pour fonder un club de pétanque sur Salies. Il fallait être six et donc je suis allé chercher mon ami André Pujos avec qui je chassais et pêchais, les frères Nogues, Salièges et Costes; ensuite on faisait des manifestations, des bals, des repas. Moi j'étais assureur et avec ma voiture je me déplaçais beaucoup et on faisait notre propagande. Le club est devenu l'un des plus importants du Comminges."
Thomas ne tarit pas sur les parties gagnées ou perdues...: "j'étais à cette époque un des meilleurs pointeurs de la région. Un jour on est parti avec Jean Pierre Duprat et Orfila à Pamiers. La veille on avait fait la fête, et en arrivant, Jean-Pierre n'était pas trop dans le coup... On était opposé à la meilleure équipe du moment: Zanon, Alazet et Munoz. A la première mène il fallait tirer et faire un carreau, Jean Pierre ne se le sentait pas, j'ai du le forcer et il l'a fait, et de là on a gagné la meilleure équipe de l'Ariège".