C'est bien connu, d'une surface de vérité à l'autre, bien souvent, c'est l'état de forme le jour «J» qui prévaut sur tout autre paramètre. Néanmoins représentativité et régularité font plutôt bon ménage.
Dans ces conditions, nul ne s'étonnera de retrouver sur le registre tenu par Gilbert Ducassé et Georges Sartori des patronymes aussi illustres que ceux des Saint-Orennaises, des Launaguettoises, des Cazériennes et des Aspétoises.
Ainsi, avant-hier, du côté de Balma, Émilie Vignères et Audrey Bandiera n'ont pas laissé l'ombre d'une chance à Laure Plouzeau et Marie Cieutat, leurs proches voisines ramonvilloises.
Autre exemple significatif, celui du parcours effectué par Nathalie Pitot et Morgane Perez. Une semaine plus tôt, à Gratentour, celles qui faisaient équipe avec Sandra Gabani n'étaient pas loin du compte. Sur les bords de l'Hers, les Launaguéttoises ont atteint sans encombre leur objectif.
Pour Coralie Bernard et Valérie Déon, c'était également «Pâques au balcon».
Les Cazériennes ont éliminé successivement Caryn Pujade et Marie-Christine Miquel (TPO) avant de couper l'herbe sous le pied de Valérie Andrieu et de sa fille, Sophie : 13-3.
La coupe de France en filigrane
Clin d'œil savoureux, on retrouvera dès samedi (jet du but à 14 heures) la championne de ligue en titre (en doublette mixte) face à l'une des lauréates aspétoises de cette session arbitrée par Jean-François Lasalmonie : Marie-Pierre Fountas en l'occurrence, qui, aux côtés de Régine Touzet, a mieux négocié le «money-time» de la confrontation qui opposait les Commingeoises à Christiane Combres et Catherine Nicolino : 9-9, puis 13-9.