Boules - Zoom. CNC 2 et CNC 3. Le bilan haut-garonnais après les ultimes périples montalbanais et saint- livradais.
En effet, les Toulousains d'Eric Barthès, en ballottage défavorable, n'ont pu, au même titre que leurs «vieilles» connaissance de La Bastide Saint-Pierre, inverser la tendance.
Pour les Columérins, le suspense dans ce même groupe D d'une rare… densité (ça ne s'invente pas…) a duré plus longtemps du fait du succès obtenu aux dépens de Foussignac : 26-10.
Le compostage de l'unique billet promotionnel était encore envisageable, à condition de poursuivre sur les mêmes bases. Héas, tandis qu'Isle/Vienne retrouvait son deuxième souffle aux dépens de Bassens (24-12) et de Seignosse (28-8), les protégés de Patrick Escaich, eux, baissaient pavillon au profit d'Angoulême : 24-12.
Une victoire qui ne portera pas bonheur aux Charentais dans la mesure où Isle/Vienne n'allait pas laisser l'ombre d'une chance à une rivale de Foussignac n'ayant plus rien à craindre ni à espérer. Reste que, pour l'honneur, les Columérins quittèrent la scène la tête bien haute en disposant de Seignosse. De quoi terminer sur la troisième marche du podium, ce qui, pour une première incursion dans le préau de la cour des grands, n'a rien de déshonorant. En revanche, un étage en dessous, la déception a été vive chez les Aspétois. Mais le réglement est formel, qui fait la part belle au goal-average particulier. Et il faut croire que les Commingeois auront traîné comme un boulet leur échec du tour précédent face à Sarlat : 20-16.
Et toujours la bête noire du Périgord !
En effet, au terme de savants calculs, ambassadeurs du Périgord noir et du Cagire finissent ex æquo avec 13 points. Le solde des derniers nommés est positif (+ 24), contrairement à celui des Dordognots (- 36) qui vont finir par ressembler à la bête d'une couleur identique et de ce fait, porteuse d'un funeste présage. N'oublions pas les coups d'arrêt infligés aux Launaguettois (es) aussi bien en Coupe de France que lors du championnat de France en triplette féminine.
Toujours est-il que le revers essuyé le 16 octobre en terres brivistes aura grandement contribué à causer la perte de ceux que l'on retrouvera avec grand plaisir quand même en ce premier week-end de novembre face à Gourdon en Coupe de France.